Znowu pada rzęsiście. Świat przysłonięty deszczową kurtyną. Ale jakoś nikt stąd nie wyjeżdża i nie zostawia jachtów na (nie)łaskę (nie)pogody. Swoją drogą ciekawe skąd w człowieku taka potrzeba kontaktu z wodą. Może to jakaś tęsknota za kołysaniem sięgająca pamięcią wód płodowych?
Płynąć i płynąć, pokornie poddając się podmuchom wiatru i łagodnemu kołysaniu fal. Żagle, wiatr i woda, czegóż chcieć więcej? I jeszcze szum. Szum pomieszany. Łopot żagli w rozmowie z wiatrem. Albo koncert masztów w przystani, gdy obudzi się mistral. Wtedy tylko glin-glin, glin –glin, a potem cisza…
De nouveau la pluie tombe dru. Le monde est couvert par le rideau pluvieux. Pourtant personne ne bouge ni ne laisse de yachts à la disgrâce du mauvais temps.
D’autre part, d’où vient ce curieux besoin humain, du contact avec l’eau. C’est peut-être une nostalgie qui renvoi au liquide
amniotique?
Nager, nager sans fin, se rendre au souffle du vent et au doux bercement des vagues. Les voiles, le vent et l’eau, quoi désirer de plus ? Et encore la rumeur de la mer. Le murmure melangé des clapots. Les voiles en discours avec le vent et un concert des mats dans le port à la levée du mistral. Puis, rien que gling-gling et, le silence.
D’autre part, d’où vient ce curieux besoin humain, du contact avec l’eau. C’est peut-être une nostalgie qui renvoi au liquide
amniotique?
Nager, nager sans fin, se rendre au souffle du vent et au doux bercement des vagues. Les voiles, le vent et l’eau, quoi désirer de plus ? Et encore la rumeur de la mer. Le murmure melangé des clapots. Les voiles en discours avec le vent et un concert des mats dans le port à la levée du mistral. Puis, rien que gling-gling et, le silence.
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